22/11/2018

EXPO | MICHAEL JACKSON: ON THE WALL

L'été dernier j'avais lu quelque part qu'il y aurait une exposition sur Michael Jackson à la National Portrait Gallery à Londres jusqu'à fin octobre. Et vu que je suis une grande procrastineuse, avec Jaël et Amélia nous y sommes allées le dernier jour ! (Oui, comme pour l'exposition Titanic à Paris il y a quelques années...).

Heureusement pour les Parisien.nes, l'exposition "Michael Jackson: On The Wall" débarque au Grand Palais du 23 novembre au 14 février (maintenant vous savez, procrastinez pas comme moi svp).

Je pense que cette exposition plaira autant aux fanatiques de Michael Jackson (les gens comme moi hein clairement, qui n'ont toujours pas fait le deuil, qui ont la chair de poule dès qu'ils entendent la voix de MJ, qui ont disséqué tous les clips du Roi de la Pop, qui connaissent son oeuvre par coeur) qu'aux férus d'art contemporain.

Car l'exposition n'est pas qu'une simple exposition sur Michael mais sur son image qui a servi - et qui continue de servir - d'inspiration à de nombreux artistes, entre autres Andy Warhol et Dave LaChapelle. Vous y retrouverez des pièces iconiques du King - dont un perfecto des familles à tomber par terre - ainsi que des vidéos de ses concerts (chair de poule sur sa performance sur "Jam", on ne fait plus d'artistes comme lui...) mais surtout des ré-interprétation de sa personne aux milles facettes par une ribambelle d'artistes.

Pour ceux qui sont pas très musées, sachez que l'exposition se fait en un temps raisonnable - je pense y avoir passé une heure et demie sans me presser et sans m'attarder non plus. Parfait pour un jour pluvieux - ou neigeux hein clairement. Et puis on ne va pas se mentir à Paris l'exposition est beaucoup moins cher qu'à Londres.


Ai-je besoin de préciser que je ne suis absolument pas payée par le Grand Palais (ni par Michael Jackson) pour vous parler de cette exposition? Cela dit, si le Grand Palais passe par là, pensez à donner de la visibilité aux gens vraiment passionnés et pas uniquement aux machines de guerre des réseaux sociaux.

La bise !
Armelle De Oliveira